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Actualités

FILLES DE SAX (roman)

de Michel Brun

 

Premier volume de la trilogie. Ce livre, initialement publié chez Le Publieur, est actuellement épuisé.

L'histoire :Elles sont quatre. Elles sont saxophonistes et nourrissent une véritable passion pour l’instrument qu’elles souhaitent toutes mieux faire connaître. Il fallait qu’elles se rencontrent. Mais la fougue de leur jeunesse va les propulser dans une aventure à laquelle une éducation bourgeoise ne les avait pas préparées. Venues d’horizons divers, États-Unis, Italie, France, les Filles de Sax vont constituer, contre vents et marées, un quatuor étonnamment soudé.
Histoire musicale, roman d’amour ? Au lecteur de décider.

 

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POLONAISE (roman)

de Michel Brun

 

Au bout du fil, il entendit la porte claquer.
- Allo ?… Françoise ?
Plus rien. Le silence.
La mystérieuse disparition de sa femme à l’autre bout de l’Europe vient bouleverser la vie paisible d’un galeriste aixois.
Quelles peuvent bien être les raisons de sa disparition ?

Dans ce chassé-croisé entre Provence et Pologne, Xavier Dufresne se rendra vite compte que quoi qu’il arrive, le passé nous rattrape toujours.

 

ACTUELLEMENT DISPONIBLE – 256 pages, 18 €

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SYMPHONIE MEXICAINE (roman)

de Michel Brun

 

– Et alors, qu’est-ce qu’elle veut, cette brave Mexicaine ? commença Maxime qui n’avait pas l’air de prendre cette nouvelle très au sérieux.
– C’est simple. Elle nous invite au Mexique.
– Sans blague ! Mais quand ?
– Le plus tôt possible…

Pour le deuxième volet de sa trilogie consacrée au quatuor de saxophones, l’auteur entraîne ses quatre héroïnes au cœur du Mexique où bien des surprises les attendent.

 

ACTUELLEMENT DISPONIBLE – 372 pages, 20 €

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MORTEL AMOUR (roman)

de Michel Brun

 

L’amour peut être un sentiment si fort qu’il est capable de braver tous les tabous. Il existe des circonstances dans lesquelles l’amour n’obtient son content que dans la mort.
Dans ces histoires que l’on raconte, histoires vraies ou inventées, histoires d’amour, peur de la mort, quel est le lien mystérieux qui relie l’amour à la mort ?
Ce lien, ne serait-il pas…
l’histoire de la vie ?
Quatrième roman de Michel Brun, Mortel amour est un questionnement sur l’âme humaine.

 

ACTUELLEMENT DISPONIBLE – 256 pages, 18€

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LOCO (roman)

de Michel Brun

 

Il existe peu de littérature consacrée au saxophone. La trilogie qui se termine avec ce troisième volet a voulu rendre hommage à un instrument de musique qui fut trop longtemps considéré comme secondaire. Aujourd’hui, l’étude du saxophone se pratique dans tous les conservatoires et écoles de musique.
Dans Loco, l’instrument fait partie de la vie des  Filles de Sax et de leurs élèves. Compagnon des heures sombres, confident et ami, témoin d’aventures improbables, sa voix répond en échos aux espoirs des protagonistes.
 
L’auteur, dans un florilège de rencontres parfois inattendues, prend congé de ses héroïnes avec émotion et leur parle d’avenir.

 

ACTUELLEMENT DISPONIBLE – 392 pages, 20 €

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SORAYA (roman)

de Michel Brun

 

Au cœur des Cévennes, une jeune infographiste voit son destin basculer brusquement. Victime d’une passion aux conséquences dramatiques, elle va retrouver l’espoir grâce à une rencontre improbable, mettant en abyme sa profession, véritable bouée de sauvetage.
 
Soraya est son sixième roman, on y retrouve son personnage, Ève Espeyrac, l’enquêtrice qui vient fourrer son nez dans ses bouquins depuis Polonaise.

 

ACTUELLEMENT DISPONIBLE – 272 pages, 20 €

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DU PASSÉ AU PRÉSENT

de Jean-Paul von Eller

 

Ce premier opus de Jean-Paul von Eller est composé de mémoires couvrant la période allant de 1940 à 2006. Il est suivi de chroniques satiriques, prélude aux futurs volumes de la série. Une troisième partie est constituée de textes poétiques.

 

QUELQUES EXEMPLAIRES ENCORE DISPONIBLES – 224 pages, 15 €

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LE TEMPS QUI PASSE (chroniques)

de Jean-Paul von Eller

 

Ce livre s'ouvre et se pratique à partir de n'importe quel titre. Il se réfère le plus souvent à des situations qui ont existé ou à des eévnements qui se sont déroulés au fil de l'année 2008, inspirant à l'auteur des réflexions parfois liées à des souvenirs personnels. Un zeste d'humeur chagrine ou des questionnements viennent émailler la vision qu'il en propose.

Si vous connaissez l'auteur, vous le retrouverez en même temps que les événements de 2008 avec un égal plaisir. Si vous ne le connaissez pas, lisez d'abord son précédent ouvrage qui vous permettra de cerner la personnalité du personnage.

 

QUELQUES EXEMPLAIRES ENCORE DISPONIBLES – 176 pages, 12,50 €

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AU FIL DU TEMPS (chroniques)

de Jean-Paul von Eller

 

Contes et chroniques au fil de l'année 2009.

Comme les précédents volumes, ces chroniques sont accompagnées d'illustrations de Michel Brun.

Quelques titres pour donner le ton :

– Otan, suspends ton vol ! – Trois alphabêtises –

À propos de racisme – Chocolat – Ce mois de mai

– Jardins – Broderie autour de la pompe – Ah, les phéromones – Sciences merdiques – Mon sablier

– Mémoires d'un brin d'herbe – Une histoire de tunnels – Monologue pour la Joconde – 11 Novembre – Feuilles vives, feuilles mortes

 

QUELQUES EXEMPLAIRES ENCORE DISPONIBLES – 232 pages, 17 €

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FIN D'UNE DÉCENNIE (chroniques)

de Jean-Paul von Eller

 

L'année 2010 en une soixantaine de chroniques parmi lesquelles :

– Le monde de Nao – Ortografe – Grandeur et décadence – Les muses ont aussi des choses à dire – Si l'on parlait de fesses ? – Eole a bon dos – Trois lettres en renaud – Foot'U – Kroma et Lutetia – Amphigouri – Faramineux destin du sel – Si on se lâchait ? – Colchiques – La lenteur, source d'ataraxie ? – Petite saga des neutrinos à l'occasion du décès de Georges Charpak.

 

QUELQUES EXEMPLAIRES ENCORE DISPONIBLES – 240 pages, 16 €

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KALÉIDOSCOPE ONZE (chroniques)

de Jean-Paul von Eller

 

Dans ses chroniques l'auteur confronte son ressenti de la société actuelle à son passé d’homme déjà mûr en mai 68, année où tant de lubies et de fictions devinrent les thèmes de la pensée unique pour la jeunesse d’alors.
Les dogmes de l’informatique et de l’Internet ne sont, eux, pas étrangers aux cafouillages qui perturbent présentement notre sens des réalités ainsi que nos jugements dans un peu tous les domaines.  
Tout récemment, dans le prologue de « L’effervescence du vide », le philosophe Nicolas Grimaldi décortique mai 68 et cite Châteaubriand déjà âgé :
« Un traînard dans ce monde a non seulement vu mourir les hommes, mais il a vu mourir les idées : principes, mœurs, goûts, plaisirs, sentiments, rien ne ressemble à ce qu’il a connu. Il est d’une race différente de l’espèce humaine au milieu de laquelle il achève ses jours. »
Rien de tellement neuf sur la planète. À savoir comment s’exprimeront nos jeunes contemporains dans un petit demi-siècle ?

 

QUELQUES EXEMPLAIRES ENCORE DISPONIBLES – 208 pages, 14 €

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L'AN DOUZE (chroniques)

de Jean-Paul von Eller

 

Au terme de l'année 2012 l'auteur propose à ses lecteurs son sixième ouvrage de chroniques et de petites histoires. Il clame pour la énième fois qu'il s'agit bien du dernier, mais le besoin d'exprimer sa façon de penser au gré des événements marquants de l'année le fait replonger dans son clavier.

Le style, l’importance accordée aux faits incriminés, subissent l’influence du moment, de la saison, de l’environnement événementiel ; comme pour les précédents ouvrages, on peut ouvrir ce livre au hasard des chroniques, le thème et la date en tête de page servant de guide. Les illustrations sont là pour inciter au sourire et pour lénifier parfois les conclusions des sujets les moins amènes. L’imagerie de l’an douze ainsi esquissée est aussi fiable que possible. Puisse-t-elle à la fois réanimer des souvenirs et délivrer au lecteur quelques messages qui devraient l’interpeller.

 

VIENT DE PARAÎTRE – 196 pages, 12 €

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VARIATIONS 8910 (poésie)

de Marcel Delestrade

 

Au détour d’une sensation, d’une émotion ou d’un sentiment, des mots apparaissent puis s’assemblent. Sont‑ils trop usés ou bien d’un emploi trop rare ? Grâce à eux, une musique existe‑t‑elle ? Ce qu’ils tentent d’exprimer, est‑ce mièvre ou hermétique ? La partition qui les réunit est-elle trop convenue ou au contraire trop peu académique ? Par chance, ai‑je réussi, ici ou là, à éviter quelques-uns des possibles écueils ? Que chacun, parmi celles et ceux qui me feront l’amitié de lire ces Variations 8910, se fasse une opinion, elle sera légitime. Ces quelques vers m’étaient indispensables ; ils ont été un espace de découverte certaine et d’impudeur possible : j’y ai usé de liberté, voilà ma seule excuse. Si l’on veut bien considérer que tout langage poétique demeure – quels que soient les mots et la forme – création permanente, il conviendra de se rappeler, en même temps, que la poésie n’est pas incompréhensible mais (simplement) inexplicable, selon le mot si juste du grand poète mexicain Octavio Paz.


M. D.

 

POUR CONTACTER L'AUTEUR, écrivez-nous, nous transmettrons.

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REFLUX (poésie)

de Marc Ghirardi

 

«  Longtemps je me suis levé de bonne heure. »
Que faire à trois heures du matin, quand les mots se bousculent dans la tête : les presser d’en sortir.
Je me suis mis à écrire pour regarder les mots, puis les ordonnancer, les déplacer, les intervertir, les opposer ou bien les rejeter.
Non pour faire des jeux de mots, mais pour que les mots soient un jeu. Puis les lire à haute voix, pour écouter s’ils produisent de la musique, ambition démesurée, mais assumée. Car « les mots ne sont rien s’ils ne sont pas des notes de musique. La magie n’est pas dans les mots, elle est dans leur juste touche. » écrivait Céline à Albert Paraz.
Et puis du sens ; la poésie hermétique n’est pas mon chemin. La poésie ne doit rien cacher, elle doit être nue et ne pas craindre d’être impudique.
Bien sûr, la première phrase en exergue fait référence à « La recherche », mais le temps du passé est-il perdu ? N’est-il pas tout simplement renouvelé, modifié, sublimé ; n’est-il pas semblable à l’incessant flux et reflux de la mer où les vagues sont tout à la fois différentes et identiques, recomposées ? Comme l’est le mouvement balancé de la vie.
Sans nostalgie, j’ai toujours pensé que le passé est un destin qui façonne notre présent, donc notre avenir ; notre devenir étant déjà connu et accepté.
C’est cette thématique que j’ai essayé d’aborder dans ce recueil, thématique que j’ai voulue ancrée dans un réel distancié. « Je est un autre. »


M. G.

 

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LES HORIZONS D'ATTENTE (nouvelle)

de Marc Ghirardi

 

À la fin de nos jours, pour chacun d'entre nous, se dépose au creux de notre main un peu de poudre d'or, ce reste d'essentiel qui aura été le fondement de nos vies.

M.G.

 

 

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DES VERTUS DU CONCOMBRE ET DU CURCUMA (poésie)

de Gilbert Arbogast

 

« Il est reconnu depuis la plus haute antiquité que les mains rendent service à beaucoup de monde ; aux rêveurs, même, mais pas aux paresseux. À condition bien sûr de savoir s’en servir. Irremplaçables pour grimper aux arbres, pour lacer les chaussures, pour consoler les veuves ou caresser un animal domestique, les mains sont très utiles aussi pour baratter le beurre ou battre la mesure. »

Entrez dans le monde de Gilbert Arbogast, vous n'en ressortirez pas indemne.

 

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MOIRES ET DIACHRONIES (poésie)

de Marcel Delestrade

 

On peut penser que des poèmes sur le Temps sont une tentative étrange et peut-être vaine puisque la littérature se situe par définition « hors du temps », au sens commun que l’on donne à ce mot.
On prend  souvent le passé pour le magasin des faits révolus, comme on regarderait un immense dépôt d’articles d’occasion ; pensées, paroles, actes, faits ou circonstances pourraient-ils se reproduire un jour ? Il est fascinant d’imaginer que des faits similaires, identiques peut-être,  puissent se répéter à l’infini, dans des univers séparés du nôtre, comme dans un jeu de miroirs.
Ce passé n’est-il que la trace laissée dans les mémoires individuelles ou collective par ces mêmes éléments ? Ou bien la trace  probante de l’antériorité elle-même ?

Le fil changeant de ces textes pourrait-il dévoiler à une lectrice ou un lecteur intrépide sa part dans cette aventure ? Tout y est-il écrit par avance ?


M. D., novembre 2012

 

POUR CONTACTER L'AUTEUR, écrivez-nous, nous transmettrons.

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CHANT CHORAL ENTRE 1945 ET 1953

par Jean-Paul von Eller

 

L'auteur de cet opus a eu 28 ans en 1953 et est alors entré dans la vie active. En
cette année 2013, les documents concernant cette période se révèlent rares, tandis que l’emprise du chant choral sur la jeunesse était allée en augmentant prodigieusement, plus spécialement sous l’impulsion de César Geoffray. Il a choisi de lier son documentaire à un « fil rouge » qui a l’avantage d’une continuité et le conduit, à la faveur de quelques événements marquants, à étoffer le thème en question. Ce « fil rouge » est matérialisé par la dynamique engendrée lors de la collaboration entre César Geoffray et Marie-Anne Reibel, et lui-même comme témoin actif des entretiens de Rosheim, puis fondé sur des entreprises musicales consécutives jusqu’en 1953.

 

ÉPUISÉ

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NILPANI,

VOYAGE INITIATIQUE AU PAYS DU TIGRE

par Tristan Renaut

 

En octobre 1995, Kriss découvre le royaume himalayen de Chambala, ses paysages et ses traditions. Il se lie d’amitié avec une famille de la région qui l’invite à la cérémonie de passage à l’âge adulte de leur fils. C’est le début d’une histoire d’amour avec ce pays, étrange et fascinant à la fois, où hommes et animaux sauvages vivent en harmonie. Il démarre avec eux une activité d’écotourisme et d’éducation à l’environnement. Mais rapidement un projet industriel remet tout en cause. Progressivement, il se retrouve impliqué dans une lutte dont les enjeux géostratégiques le dépassent. C’est le début d’une longue histoire où culture traditionnelle et environnement se retrouvent en danger.

264 pages – 20 €
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LE CHÂTEAU D'ÉGUILLES ET SES HABITANTS

par Thérèse et Louis Gentilhomme

En mille ans d’histoire, le château d’Éguilles a connu bien des fortunes diverses. Le castrum médiéval (1004), dont le nom château en français moderne désignait une simple forteresse va devenir, comme l’indique son sens moderne, demeure seigneuriale. Après cette longue vie aux mains des puissants, le château fera école communale, cave à vin, bureau des postes ou café Marroc. Le séisme de 1909 va faire trembler son destin et celui de l’église mitoyenne, épisode à l’issue duquel la mairie va finalement s’installer à sa place actuelle.

Depuis les barons féodaux jusqu’aux municipalités, en mille ans, les occupants du château vont se succéder et influer sur son destin. La famille des Baux se verra supplantée,  après disette et peste, par le comte de Provence. Le roi René cédera la seigneurie d’Éguilles à son écuyer, seigneur progressiste. La Provence est à ce moment rattachée à la France. La famille de Génas et les guerres de Religion, la famille de Boyer et Madeleine de Forbin, la dame d’Éguilles… Sur fond de vie rurale, des pans de notre histoire se déroulent au pied du château. 

Un récit vivant, des détails croustillants, une lecture qui fera le bonheur des curieux.

158 pages – 18 €

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LA VALSE DES LOUPS

par Michel Simon

 

Sercy est enquêteur à la Brigade criminelle de Marseille. Affecté depuis 3 ans à la section « homicide dans le milieu », son boulot consiste à retrouver des tueurs à gages et leurs commanditaires. Ce qu’il fait sans grand enthousiasme, au grand dam de sa chef de service. Lui, ce qu’il voudrait, c’est être réaffecté dans son ancienne section, celle des homicides crapuleux. Retrouver les meurtriers de victimes innocentes, voilà ce qui le passionnait vraiment, voire le hantait. Un jour, une tentative de meurtre a lieu sur l’un des plus puissants parrains marseillais, sa chef de service lui demande de démasquer au plus vite les auteurs de cette agression pour éviter que la ville ne rentre sans une spirale de la vengeance.

Elle lui demande également, de faire quelques recherches sur son défunt mari. Ce dernier s’est suicidé quelques mois auparavant, et elle ne se pardonne pas de n’avoir rien pressenti. Sercy trouve sa requête stupide et sans intérêt, mais accède à sa demande. Cependant, il monnaye son coup de main et exige d’elle qu’elle le fasse de nouveau muter à la section « crime crapuleux » dès que possible. Elle accepte, et le voilà menant de front une enquête officielle inextricable et une enquête parallèle qui finit par devenir tout aussi inextricable. C’est alors que croyant avoir tout vu, tout vécu, il va comprendre, sur fond de règlement de compte dans le milieu, que la perfidie, le sordide et l’horreur se nichent parfois sous nos semelles sans même que nous puissions le soupçonner un seul instant.

304 pages – 15 €

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C'ÉTAIT HIER À ÉGUILLES

par Louis Gentilhomme

 

Quelles furent les étapes qui permirent à notre village de devenir celui que nous connaissons ? Quels furent les atouts qui y contribuèrent ? Ce fut l’eau, tout d’abord, sans laquelle aucune vie n’est possible. Puis les produits de la terre : les céréales et le pain ; la vigne et le vin ; l’olivier et l’huile. Les produits de l’élevage des ovins, quant à eux, sont attestés dès 7000 ans avant notre ère.

Parallèlement aux traditions rurales, vont apparaître les nécessités et l’élaboration de l’enseignement élémentaire, prélude à nos deux groupes scolaires. L’histoire de la paroisse d’Éguilles fournit les clés de la structuration spirituelle de la communauté. L’auteur nous invite à faire la connaissance de nos ancêtres éguillens : c’était hier, à Éguilles.

312 pages et encart couleur – 24 €

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LA TENTATION INDIENNE

par Robert Fajon

 

C’est l’histoire d’une relation entre un yogi humaniste musicien et la civilisation indienne, qui, tour à tour, l’attire, le choque et finalement le conquiert. Chaque voyage est ainsi une étape et une voie nouvelle qui permet la rencontre de maîtres et d’enseignants différents. Commencée dans les plaines du Bengale, chez les musiciens Bāuls, cette quête se poursuit à Madras chez Desikachar, le maître du chant védique, et se termine à Bénarès, lors du festival de chant dhrupad et du colloque organisé à l’université de cette ville. Émaillé d’anecdotes, le récit fait un tableau vivant, parfois teinté d’humour, de l’Inde d’aujourd’hui telle qu’elle apparaît à un amateur de l’Inde ancienne.

132 pages –  10 €

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SAFRES SAVANES

par Marcel Delestrade

 

J’ai voulu conserver aux différentes formes prises par ces poèmes – chansons, contrerimes, rondeaux, poèmes en prose, haïkus ou autres. – l’irrégulière alternance de leur écriture.

Sans doute pourrait-on nommer « mesclun » le fruit de cette volonté.

Le mot « safre », pourtant, m’a paru évoquer mieux encore les compagnes que savent être l’aridité et la gourmandise. Substantif, il désigne un sol jaunâtre fait d’argile limoneuse, dure et stérile, si elle n’est pas longuement travaillé ; adjectif, il fait référence à la bonne chère, au plaisir, aux festivités, à la création. M.D.

 

168 pages – 12 €

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